Notre patrimoine littéraire

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J'ai trouvé sur Internet des livres anciens sur la littérature au Canada.

Histoire de la littérature canadienne :
De Edmond Lareau 496 pages, Publié par Imprimé par J. Lovell, 1874, Copie de l'exemplaire Université de Harvard, Numérisé le 8 oct 2007. Vous pouvez tourner les pages du livre et le télécharger en PDF (voir à droite).
La table des matières est particulièrement intéressante. Elle permet de cliquer sur les sujets qui nous intéressent.
Attention: ce ne sont pas nécessairement toutes les pages qui sont consultables gratuitement. Vous devrez vous contenter de certaines pages et rester sur votre appétit ... à moins de consulter le livre papier ou d'acheter le livre en ligne.
http://books.google.ca/books?id=Is8OAAAAYAAJ&dq=dictionnaire+Tanguay&lr=&hl=fr&source=gbs_summary_s&cad=0

Écrivains et écrivaines au Canada
Collection de manuscrits, copies dactylographiées, correspondance, journaux et carnets de notes.
http://www.collectionscanada.gc.ca/ecrivains/index-f.html

Les Canadiennes et la littérature
http://www.collectionscanada.gc.ca/femmes/002026-222-f.html

Voici deux liens vers des articles (sur Cyberpresse) au sujet du roman québécois "Trente Arpents" de Ringuet:
http://www.lapresse.ca/arts/livres/entrevues/201301/25/01-4615129-denys-arcand-le-spectre-de-la-disparition.php
http://www.lapresse.ca/arts/livres/chroniques/201301/25/01-4615138-pourquoi-ringuet-nest-pas-ringard.php

Le premier est en fait un entretien avec Denys Arcand, lequel vient de publier un monologue sur le sujet (Euchariste Moisan. Denys Arcand. Leméac, 79 pages). Arcand souligne:

Trente arpents est une «oeuvre implacable», comparable au Maître et serviteur de Tolstoï. «De tous nos meilleurs romans, écrit-il, c'est le moins lu. Pourtant, on pourrait facilement dire que c'est le plus grand.»

Un roman qui nous en dit beaucoup sur nos origines!

André.

Salut André,

Un hasard ! Je suis justement en train de relire depuis qq temps ce merveilleux roman historique que j'avais lu dans ma jeunesse et dont je ne me rappelais plus du tout de l'histoire. J'ai accroché dès les premières pages, je le savoure mot par mot, page par page. Je suis rendue à la moitié du livre.

Dans le Journal de MTL d'auj. dimanche, Arcand parle du livre-monologue qu'il vient de publier à partir de ce roman.Il a dévoilé le punch de la fin de l'histoire, dommage.

Et dans La Presse, ils en racontent encore plus sur l'histoire, encore dommage ! Ça nous enlève le "suspense" de l'histoire.

Je suggère comme La Presse de lire le roman en premier,.

De fait, lorsqu'on lit l'un à la suite de l'autre Trente arpents et Euchariste Moisan, on ne ressent aucune rupture de ton, c'est le parfait résumé, d'un point de vue intime, du roman. «J'aimais beaucoup l’œuvre, je la considère comme parfaite, alors je ne voulais pas la trahir. Mon but était d'être fidèle à l’œuvre, mais de la transposer dans quelque chose d'uniquement verbal, qui peut se raconter.

Synchronicité ;-)
J'ai retrouvé ce roman dans ma bibliothèque. Il me semble l'avoir lu lorsque j'étais étudiant, mais j'étais trop jeune pour en comprendre le sens. Aujourd'hui, la perspective serait bien différente avec la passion pour la généalogie et l'histoire. Bien hâte de le relire!

André.